Être « entrepren’eureuse » 

Entrepren’eureuse… encore un nouveau mot ?!

Peut-être bien, tout comme infopreneur, slowpreneur, etc.

Et pourtant quand j’ai vu ce terme apparaitre au détour de ma veille d’actualité sur l’entrepreneuriat, je me suis tout de suite reconnue.

Alors c’est quoi être entrepren’eureuse ?

Mood 2022 => être entrepren’eureuse !

Pour moi, cela veut dire que notre activité d’entrepreneuriat nous rend heureuse (jusque-là, tout semble logique! )

Et pour la vie d’un entrepreneur, voire d’une entrepreneuse n’est pas toujours rose ! Après les premiers temps d’excitation d’avoir lancé sa/ses activités d’indépendants, synonyme principalement de liberté, on se retrouver vite dans la spirale infernale de « travail = argent / pas travail = aïe la fin du mois ».

Pour beaucoup, la crise du COVID apparue en 2020 aura bousculé nos business models de façon plus ou moins brutale. Pour ma part, j’ai eu la chance de bénéficier du chômage puisque GAUCI Prévention existe sous statut de portage salarial (donc oui, chaque mois je tire un peu la tête de laisser autant d’argent par rapport à ce que mes clients payent auprès de ma société de portage, sauf qu’en cas de coup dur, j’ai accès aux avantages sociaux). Et aujourd’hui avec le recul, je me rends compte que cette « épreuve » m’a sortie de ma zone de confort et m’a poussé à regarder au-delà des barrières que je m’étais fixée.

Pour en revenir au sujet d’être entrepren’eureuse, j’ai enfin accepté mon business ou du coup mes business soient au service de ma vie et non l’inverse. Après avoir réalisé plusieurs fois l’exercice des priorités (des cailloux dans le bocal, de la pyramide de Maslow, appelez ça comme vous voulez), les mêmes sujets ressortent systématiquement : ma santé, ma famille, mon cheval et mon mode de vie !

Et finalement, le point commun à mes priorités se retrouve dans la liberté d’organisation. C’est d’ailleurs pour ça que je me suis lancée dans mes activités d’indépendantes, c’était le seul moyen pour équilibrer ma vie privée et ma vie professionnelle. Par ailleurs, je persiste à croire que pour être efficace dans ses activités professionnelles, il faut être bien dans sa peau ! Quand je reviens de 2h de ski de randonnée ou d’une bonne balade à cheval, je sais que je suis dans les meilleurs conditions pour réaliser mes missions professionnelles (consultante, formatrice, etc.).

Après les mois tumultueux de 2020 et 2021, je souhaite aborder 2022 de cette façon : être entrepreneuse et heureuse…. Entrepren’eureuse !